Souvent longue à diagnostiquer, l’endométriose est une maladie insidieuse et parfois très invalidante. Elle se caractérise par des douleurs diffuses qui peuvent se manifester dans plusieurs zones du corps.
Dans tous les cas, il est important de pouvoir nommer les symptômes qu’elle provoque dans les différentes zones du corps pour aider à poser le diagnostic.
Il est important de ne pas minimiser ses douleurs, en particulier lors des règles. Savoir les exprimer, oser en parler à son entourage et à un médecin permet souvent de diagnostiquer plus rapidement l’endométriose.
Et qui dit diagnostic dit aussi mise en place de traitements ou de solutions d’accompagnement pour apaiser les douleurs et inconforts…
Abdomen piétiné, mains qui agrippent et torturent, impression d’être noyée dans la douleur, de recevoir un coup de poignard ou de sentir des tentacules gagner ses ovaires… Autant de mots et d’expressions employées par les femmes souffrant d’endométriose1 pour décrire les douleurs qu’elles ressentent.
Celles-ci font aussi souvent le même constat : elles ont la sensation d’être piégées par des maux lancinants, qui semblent ne vouloir jamais s’arrêter.
Le premier symptôme classique de l’endométriose est lié aux douleurs pendant les règles. Elles peuvent apparaître dans plusieurs régions anatomiques :
Les douleurs lors des rapports sexuels sont aussi fréquemment ressenties chez les femmes concernées par l’endométriose, on parle alors de dyspareunie.
En 2020, l’association EndoFrance a mené une enquête2 auprès de plus de 1500 femmes touchées par cette maladie.
On leur a notamment demandé d’évaluer l’intensité de leurs douleurs sur une échelle de 0 à 10. Résultat ? Pour 82 % des patientes interrogées, elle se situe entre 7 et 10, soit une douleur intense à insupportable qui témoigne de la force des symptômes ressentis…
Cette même enquête révèle que le traitement le plus courant contre les douleurs liées à l’endométriose est constitué d’antidouleurs. C’est la solution privilégiée par 29% des femmes… Mais paradoxalement, près de la moitié des utilisatrices ne les trouvent pas efficaces.
C’est généralement parce que la douleur se maintient, voire s’étend qu’elles décident de tester d’autres traitements essentiellement hormonaux. Dans certains cas, elles font aussi le choix d’avoir recours à la chirurgie.
Quel que soit le type de douleurs ressenties (dyspareunies, souffrance au niveau des lombaires ou dans la zone abdominale), les conséquences de l’endométriose sur la vie quotidienne des femmes ne sont pas à prendre à la légère.
Impact physique et psychologique, sur la vie sociale et professionnelle ou dans la vie personnelle et jusque dans l’intimité de la sexualité… les douleurs et leurs effets s’invitent dans tous les aspects de la vie et ont un impact négatif sur la qualité de vie.
Il est possible de lutter efficacement contre les douleurs d’endométriose sans nécessairement passer par un traitement médicamenteux. La phytothérapie ou l’aromathérapie, tout comme le yoga, le recours à la chaleur et l’adoption d’une alimentation choisie contribuent aussi à soulager les symptômes.
Des innovations récentes permettent à leur tour d’apaiser les douleurs grâce aux effets bénéfiques de l’électrothérapie. Des études scientifiques réalisées avec les 3 programmes de Neurostimulation Transcutanée du patch URGOGYN démontrent son efficacité sur les dysménorrhées3 et douleurs pelviennes chroniques, notamment liées à l’endométriose4,5.
Le patch URGOGYN rend la technologie TENS (Neurostimulation Electrique Transcutanée) accessible à toutes, pour apaiser les règles douloureuses et les douleurs pelviennes chroniques. Et si c’était le moment de l’essayer ?
(1) « Dictionnaire de la douleur », élaboré par Nana sur la base de témoignages de femmes victimes d’endométriose.
(2) Consulter l’enquête EndoFrance : https://www.endofrance.org/wp-content/uploads/2020/06/resultat-enquete.pdf
(3) Essai clinique monocentrique, contrôlé, randomisé en double aveugle et cross over, versus sham (dispositif placebo), destiné à évaluer l'efficacité et la tolérance d’un dispositif de stimulation nerveuse électrique transcutanée (TENS) chez 40 femmes présentant une dysménorrhée primaire de février à septembre 2020. Numéro ID RCB : 2019-A02167-50.
(4) Mira TA, Giraldo PC, Yela DA and Benetti-Pinto CL. Effectiveness of complementary pain treatment for women with deep endometriosis through Transcutaneous Electrical Nerve Stimulation (TENS): randomized controlled trial. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2015;194 :1-6.
(5) Mira TAA, Yela DA, Podgaec S, Baracat EC, Benetti-Pinto CL. Hormonal treatment isolated versus hormonal treatment associated with electrotherapy for pelvic pain control in deep endometriosis: Randomized clinical trial. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2020 Dec;255:134-141.